Invités par le directeur des « Celliers d’Orfée », Cédric Bruel, et en présence de son président Stéphane Silobre et des administrateurs, environ trente adhérents de la cave ont participé à une dégustation du millésime 2018. Ainsi, dégustés en brut de cuve, ce sont douze vins différents, classés en Vins de Pays ou en AOC Corbières, qui ont été présentés aux participants. Entre autres buts, Cédric souhaitait sensibiliser les adhérents sur les différentes qualités proposées, issues de sélections strictes et expliquant les différents tarifs. Au-delà de ces considérations, le directeur voulait surtout faire en sorte que les adhérents se rapprochent et se réapproprient «leur cave».
« On fait de la dentelle » Les échanges se sont multipliés entre les adhérents, entre la cave et les adhérents et de nombreuses réponses ont été apportées aux questions des viticulteurs réunis. Rêvant de «créer une gamme qu’on ne peut oublier», Cédric insistait sur ce souhait auprès de ses invités.
«On peut sortir des choses spectaculaires et, même si on est industriels, on fait de la dentelle», soulignait-il avec un enthousiasme contagieux. Cette dégustation était suivie d’un apéritif au cours duquel les échanges se poursuivaient et l’on pouvait entendre fuser des termes tels que «maturité», «tanin», «Marselan», «rondeur» ou «macération carbonique». Ils témoignent non sans une certaine poésie de tout l’investissement et de la passion de nos viticulteurs.
« On fait de la dentelle » Les échanges se sont multipliés entre les adhérents, entre la cave et les adhérents et de nombreuses réponses ont été apportées aux questions des viticulteurs réunis. Rêvant de «créer une gamme qu’on ne peut oublier», Cédric insistait sur ce souhait auprès de ses invités.
«On peut sortir des choses spectaculaires et, même si on est industriels, on fait de la dentelle», soulignait-il avec un enthousiasme contagieux. Cette dégustation était suivie d’un apéritif au cours duquel les échanges se poursuivaient et l’on pouvait entendre fuser des termes tels que «maturité», «tanin», «Marselan», «rondeur» ou «macération carbonique». Ils témoignent non sans une certaine poésie de tout l’investissement et de la passion de nos viticulteurs.
(Merci Marion Llense – L’Independant)